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32 heures collectives et jours fériés

LES  JOURS  DES   RTT  / Nous travaillons 4 jours par semaine…

Nouveau licenciement pour fait de grève à GRDF

La direction de GRDF a demandé le licenciement de Nordine,…

Des CDD à la conduite nucléaire !

Les postes sont supprimés massivement dans les fonctions support…

Nucléaire : position de Solidaires

Cette note synthétise l'état des débats dans Solidaires sur…

Loi sur la représentativité

La loi n°2008-789 du 20 août 2008 portant rénovation de la…

Le RSS (représentant de section syndical) : rôle et droits

Synthèse de Liaisons Sociales sur le représentant de section…

Taxe Carbone : la fausse bonne idée

Ce qui pourrait représenter une bonne idée, s’avèrera inefficace…

Une urgence : se mobiliser contre les sanctions

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240 procédures disciplinaires, des centaines de blâmes ou d’avertissement. Quatre demandes de licenciements en conclusion de conseils de disciplines

 

Le tableau n’est pas seulement impressionnant, il est gravissime.

 

Les militants et animateurs du mouvement sans précédent dans l’histoire sociale de nos entreprises sont aujourd’hui victimes d’une attention très particulières de la part de leur encadrement : visites surprises très rapprochées de chantiers, recherche systématique d’éventuelles fautes professionnelles. Pression permanente et brimades de toutes sortes sont le lot de nos collègues.

Pendant trois mois, les salariés d’EDF SA, d’ERDF, de GRDF, de GDF/SUEZ ont voulu faire entendre leur malaise et leurs souffrances, leur rage de voir leur entreprise publique détruite méticuleusement, leurs difficultés à boucler les fins de mois pour les plus jeunes d’entre nous.

 

Les militants syndicaux ont porté ce cri dans nombre d’endroits, c’est leur mission, c’est leur devoir.

Le PERCO, pourquoi, pour qui ?

Dispositif à adhésion facultative, le Perco ( Plan d’Epargne…

Le mouvement continue : le Bugey bloque l’arrêt de tranche

Le mouvement s’était arrêté durant l’été suite aux décisions…

Quel prix pour l’électricité

Les augmentations du prix de l'électricité sont généralement…

Hausse des tarifs de l’electricite : quelle réponse à long terme

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L’annonce par Pierre Gadonneix d’une volonté d’augmenter les prix de l’électricité de 20% en 3 ans a déclenché l’ire du Gouvernement, et serait l’un des déclencheur de sa disgrâce subite. Peut-être même serait-elle responsable du malaise présidentiel ?

Depuis, la hausse a été limitée à 1,9%, mais pour combien de temps ?

 

Pourtant, cette annonce de hausse n’avait rien que de très naturelle, hélas, si l’on s’en tient à la logique libérale portée par notre cher Gouvernement et par la Commission Européenne.

Le sombre bilan de M.Gadonneix

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Le PDG d’EDF, Pierre Gadonneix, qui vient d’annoncer les résultats du premier semestre, n’a pas de quoi pavaner. Au terme de son mandat, son bilan est bien sombre :

  • un groupe fragilisé financièrement par une folie expansionniste qui a conduit à des achats hasardeux et fort coûteux à l’étranger,
  • une augmentation sensible des temps moyens de coupures par usager, liées au baisses d’effectifs, au non renouvellement du matériel, à la fermeture d’agences, au mauvais entretien du réseau …
  • une dégradation du service, avec la multiplication des interlocuteurs, le développement de services payants, la disparition des points de contact avec les usagers …
  • une désorganisation de l’entreprise,
  • une détérioration sans précédent du climat social dans l’entreprise, qui s’est traduite par la plus longue grève de son histoire.

jugement du Conseil d’Etat : un directeur d’une société anonyme libre de définir les modalités de grève de ses employés ?

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La décision que vient de rendre le Conseil d’Etat, donnant raison à EDF dans les réquisitions de personnel des centrales nucléaires, est contradictoire par plusieurs aspects :

- Elle donne tout pouvoir aux « organes de direction » d’EDF, pour « [déterminer] les limitations affectées à l’exercice du droit de grève». Pourtant, ces organes de direction ont pour objectif principal – pour ne pas dire unique – comme ils se plaisent eux-mêmes à le répéter à leurs salariés et actionnaires, de maximiser leur marge : leur intérêt est donc d’interdire purement et simplement le droit de grève ! Et le juge leur laisse la porte ouverte à tous les abus, sans aucun contrôle d’une tierce partie ! Ils se retrouvent ainsi juge et partie.

- Elle confère à EDF SA un rôle de responsable d’équilibre qui, normalement, est assumé par RTE ;

- Elle contredit un jugement rendu par le Tribunal Administratif de Lyon, saisi par la CFDT, qui déclare les réquisitions illégales ;

- Quant au Tribunal Administratif de Paris, saisi dès le 25 juin par SUD Energie, il s’est déclaré incompétent sans même accorder une audience sur la même requête que celle faite auprès du Tribunal Administratif de Lyon, à deux reprises, après avoir pris à chaque fois 3 jours de réflexion.

Hausse des tarifs EDF : pourquoi les usagers financeraient-ils la mégalomanie d’EDF ?

EDF demande une hausse de 20% des tarifs d’électricité sur 3 ou 4 ans, pour réduire son endettement, sans apporter aucune transparence sur les calculs conduisant à cette demande. C’est une nouvelle preuve que la libéralisation fait monter les prix.  

Cette augmentation financerait non pas les investissements, comme le prétend la Direction d’EDF, mais bien les achats tous azimuts faits à l’étranger pour quelques 20 milliards d’euros, sans aucun lien avec la mission de service public d’EDF.

Réquisitions : la Direction instrumentalise la question de la sécurité

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Face à un conflit qu’elle refuse de traiter, EDF s’est arrogée le pouvoir de remettre en cause le droit de grève de ses salariés en réquisitionnant les grévistes de 5 tranches nucléaires, au motif d’un éventuel risque de déséquilibre sur le réseau provoquant des délestages (coupures) à la fin juillet.

 

EDF essaie par ailleurs de faire graver dans le marbre ce recul du droit de grève par une assignation en référé des fédérations syndicales le 26 mai prochain.

Point sur la situation dans le nucléaire au 2 juillet 2009

Cruas : agents toujours grévistes, mais requis. Ambiance très…

Le conflit dure toujours

Point sur le conflit à EDF SA au 22 juin 2009     La Direction…

Journal CPCU n°26

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Appel à la coordination des sites en mouvement

Vous trouverez ci-joint un appel émanant de différentes centrales…

Notre mouvement est efficace, ils veulent l’interdire !

Communiqué de la Fédération SUD Energie, 12 juin 2009 Après…

Notre mouvement est efficace, ils veulent l’interdire !

Communiqué de la Fédération SUD Energie, 12 juin 2009

Après avoir fait parvenir aux fédérations syndicales concernées une « sommation interpellative » leur enjoignant de retirer leur préavis de grève à durée illimitée, elle assigne aujourd’hui en référé les syndicats locaux. Cette attaque juridique arrive juste au moment où les premiers chiffres du coût de la grève tombent.

Il s’agit d’une attaque très grave du droit constitutionnel de grève. Les Directions invoquent une menace sur « l’équilibre entre l’offre et la demande d’électricité » si l’été venait à être chaud. Cette menace est très surprenante puisque, même en considérant les baisses de rendement liées à la température des fleuves, l’été reste en France la période de consommation la plus faible, et une grande part de la production est destinée à l’exportation. Il existe bien des moyens d’éviter de mettre en danger l’équilibre du réseau : décalage des périodes de maintenance, achat sur le marché, demande d’effacement des clients industriels…

Etat de la mobilisation dans le nucléaire

- Dampierre : 2 arrêts de tranche (AT) bloqués - Cruas :…

Après 2 mois de conflit, rien n’est réglé

Communiqué SUD Energie du 29 mai 2009   Après des semaines…